• DIVISER LA ZAD ?... CRIMINELS ! L' EXPERIENCE ZADISTE : UN CHEMIN POUR SORTIR DE NOTRE INHUMANITÉ

    DIVISER LA Z A D ?...

     

    CRIMINELS !  

     

     SON « ESPRIT DE CRÉATION »

     

    EST L'UN DES FIRMAMENTS DU MONDE! 

     

    L' EXPERIENCE ZADISTE : UN CHEMIN POUR

     

    SORTIR DE NOTRE INHUMANITÉ

     

     

    Des mots, toujours des mots. Des mots les uns contre les autres. Des mots de tous les jours, mots de haine, mots d' amour. Des mots qui font du bien... Mots de situations : situation de pouvoir, mots de dominants, mots de dominés. A une situation imposée, nous pouvons créer une autre situation : nous sommes tous situationnistes.

     

     

     

    Renverser une situation en créant une autre situation est toujours possible : En 36, par les grèves sauvages poussant à la grève générale, finalement acceptée par les syndicats acculés par la base à se radicaliser  ; par la Résistance 39/45, la résistance à la guerre d' Algérie par la “désobéissance civile“ ; la preuve par le mouvement de 68, par le MLF, par le FHAR (front homosexuel d' action révolutionnaire), par le mouvement pour la liberté de l' avortement ; par le mouvement antinucléaire de 1969, suite à la décision de mettre sur pied le plan PÉON (production d' électricité d' origine nucléaire), créé en 1950 par P. Mesmer, voulu par de Gaule, et mis en œuvre en 1974 par le ministre d' Ornano, qui publie une liste de sites possibles de centrales ; ce qui déclencha aussitôt un mouvement contre les centrales d' ERDEVEN en 1975, du PELLERIN en 1976, de PLOGOFF en 1978, du CARNET en 1981... Toutes ces centrales furent abandonnées. Mais, Mitterrand, quant à lui, avait promis un marché aux intégristes du nucléaire, à propos de l' abandon de Plogoff, appliqué après les élections de 1981 : « Donnez-moi Plogoff, et je vous sauve tout le reste ! » Reste sauvé : nous en sommes aujourd'hui à 58 réacteurs... 58 catastrophes potentielles, 58 MENSONGES

     

    par omission !...

     

    La preuve encore par le Larzac, par Tarnac, par Sivens... Reste encore la zone d' enfouissement des déchets nucléaires à Bure, passant par l' arrêt immédiat de l' industrie nucléaire... Reste l' industrie envahissante des éoliennes, à terre, comme en mer, partout où il y a «du vent dans les tunes »... Reste la ZAD, et surtout les Zadistes contre lesquels le Parti de la Presse et de l' Argent (voir le regretté “LE PLAN B“) a lancé depuis décembre 2017 tous ses molosses journaleux du papier, de la radio, de la télé, à l' assaut des “hors-la-lois“.

     

     

     

    Détruire disent-ils, évacuer, assassiner l' inconnu qui leur fait tant peur... Toujours les mêmes, des hommes de peu de conscience, mais plein de pouvoirs, imbus d' eux mêmes. Et surtout MENTEURS.

     

     

     

    Ainsi donc, on le sait, depuis ce fabuleux journal « Le Plan B », qui les avaient dénoncés, il y a quelques années, suite à la disparition du non moins fabuleux, « PLPL » (pour lire pas lu). Le Plan B, avait osé affirmer que « LES MÉDIAS MENTENT » ! Vous vous rendez compte ! Aujourd'hui, à l' heure de la loi sur les « fakes-news » qu' ils nous assènent sans vergogne... Encore plus grave, maintenant ils sortent les dents, non seulement ils MENTENT, mais ces arracheurs de dents, veulent assassiner ceux qui les dérangent dans leur petit confort de la “pensée unique“, bien bourgeoise ! Ainsi donc, ainsi donc, journaux, radios, télés, avec leurs journaleux assoiffés de sang à la “Une“, chroniqueurs (gros niqueurs), sont à la recherche d' une nouvelle bataille rangée entre les « black-bloc » et les « BAC-blocs » (forces du désordre), sans savoir qui sont d' ailleurs ces « black-bloc ». Tout ça anime leur Société du Spectacle, dans laquelle ils font l' opinion, toujours outrageuse contre les dominés, au bon sens de leurs patrons : les neuf milliardaires, nouveaux maîtres des médias qui MENTENT.

     

     

     

    Tous veulent pousser les responsables politiques à prendre la décision ultime de mettre fin à la ZAD. Et pour justifier leur acharnement contre elle, ils ventriloquent jugulaire au menton d' impardonnables culpabilités. Ils l' accuse des plus gros mots/maux : « zone de non-droit », où se “tapissent“ dans ce bocage Nantais tous les « hors-la-loi » du monde ; il y aurait les “bons“ et les “mauvais“  zadistes... Voir, « le travail de division du mouvement effectué par les médiateur.ices à travers leur présentation de la ZAD et de ses habitant-e-s et occupant-e-s : LE PREMIER BUT DE LA MÉDIATION, C' EST LA DIVISION ! » ...La terreur fait vendre, on vend de la terreur ; comme au temps où PLPL, en avril 2003, avait publié « Une leçon de mensonge (en 5 épisodes) », où le rebondissement devient un filon ... « Quand les médias assassinent un bagagiste de l' aéroport de Roissy. » A l' époque déjà, un certain philosophe s' agitait : « La presse a la possibilité de détruire les gens sans tomber sous le coup de la loi », avait noté Jacques Bouveresse. Puis, Besseghir est passé de la position de coupable, à celle de victime sans que les médias présentent le moindre mea culpa. Dans ce même N° 14,“La laisse d' or“ avait été décernée au plus servile des serviteurs, comme chaque mois ; ce jour là, « Romain aurait dû “Mourir à trente ans“ ». Car, Romain Goupil, avait décroché la Laisse d' or, lui le pro Bush de la guerre d' Irak, qui voulait s' associer aussi avec M. Blair ; et aujourd'hui, il concourt encore pour une nouvelle Laisse, étant pro-Macron et associé à Cohn-Bendit... La presse Sardonique, qui voulait détruire le PPA (parti de la presse et de l' argent), nous manque. Peut-on espérer imaginer un Diplo-Hebdo, Sardon ? ...

     

     

     

    Bref, l' enfumage médiatique bien rodé lors de l' opération César en 2012, s' est remis à matraquer à tour de bras avec le feint verbiage du bourrage de crâne des masses-médias, utilisé par les mêmes perroquets des “trues news “ (vraies nouvelles), certifiées. Presse écrite, plateaux télé ou radio, sont désormais remplis de “journalistes“, et autres “spécialistes“ ignorants tout de la situation présente de la ZAD. Tous recommencent à divaguer, pour certifier : « on dit que... », « il paraît que... », en employant sans hésiter de fausses images, de fausses interviewes, de faux témoignages etc. … Ils dénoncent les “fakes-news“ des réseaux internet, mais caquettent sur des commentaires de commentaires sans source, ni enquête ; crépissent des murs d' images pour recouvrir le faux en apparence vraie, plus vrai que vrai. Ils y vont à la manœuvre, et tout le monde se marre... mais alors... : “LES MÉDIAS MENTENT “ !

     

     

     

    La liberté des libéraux, c' est la fameuse définition : « La liberté des uns s' arrête là où commence celle des autres ». Donc une conception qui met en son centre l' individu “séparé“ des autres, et fait vivre l' idée que avec la sécurité, on peut envisager les autres comme une menace pour sa propre liberté. Rousseau dirait plutôt : « La liberté des uns commence là où commence celle des autres. » C' est-à-dire, que la liberté c' est fondamentalement une dimension politique de l' action et qu' on ne peut pas être libre seul dans un monde qui est entouré de servitudes ou de concurrences...

     

     

     

    Aujourd'hui, après mai 68, on peut se permettre une troisième définition de notre liberté :

     

    « La liberté des uns commence là où s' arrête celle des autres »... Ma liberté commence là où s' arrête celle des autres... parce que la liberté actuelle est à conquérir pour repousser nos limites d' hommes et de femmes libres dans un monde plus humain, donc plus fraternel. Autrement dit, si nous reprenons l' idée de la Caverne de Platon où nous serions tou-te-s enfermé-e-s, alors que nous avons une ouverture vers la lumière extérieure, chemin que nous pouvons emprunter pour sortir libres, mais que personne n' ose franchir par peur du monde inconnu. Mais aussi et surtout l' interdiction qui est faite par la hiérarchie de notre monde dominant (non encore humain), d' aller voir là-bas, si j' y suis, et donc de déranger les lois établies comme immuables. Ce monde de la Caverne est “le vrai monde“, et si on lui désobéit, on est puni ou maudit par la communauté toute entière... Donc, nous ne sommes pas libres ; d' où cette nécessité d' aller voir cette lumière extérieure, malgré tous les risques : ma liberté commence là où s' arrête celle des autres... Les autres étant réellement arrêtés par la peur de l' inconnu et des interdits sociaux qui nous soumettent aux ténèbres intérieurs de la caverne…

     

     

     

    zone de non-droit“

     

     

     

    Zone de non-droit, concerne tout territoire où le droit ne s' applique pas. L' un des pires exemples que s' octroie la domination  mondiale : le camp de Gantanamo, base navale des USA dans le Sud-Est de l' île de Cuba, « dans un statu flou », devenu en 2001 centre de détention et de tortures, gérés par la CIA, avec 700 détenus, en moyenne, qualifiés de « combattant illégal ». Reportage « dans un lieu hors du monde » grince innocemment BFM ; Le Parisien plus timoré, tout en retenue révérencielle : la prison « hors-la-loi » des États-Unis ?... On parle aussi de “zone fidale“, de “zone somatomotrice “. Il existe aussi des “zones de convergence tropicale“, où règne l' “absence de législation“... Tous ces lieux où la population subit (ou décide de respecter), un droit non imposé par l' État, qui peut être contractuellement défini, par opposition à l'anomie, qui est une absence de droit...

     

     

     

    Une “Zone à défendre“ (ZAD), désigne une forme de squat à vocation politique, la plupart du temps à l' air libre, généralement destinée à s' opposer à un projet d' aménagement.

     

     

     

    Par contre, si on prend en compte, « le respect de la hiérarchie des normes », c' est la position du système classique du jargon de la bourgeoisie qui se maintient au pouvoir depuis plus de deux siècles. Les compétences des différents organes de l' État doivent être précisément définies et les normes qu' ils édictent ne sont valables qu' à condition de respecter l' ensemble des « normes de droit supérieures » imposés aux peuples dominés ; à savoir par ordre d' importance  : La Constitution, suivie des engagements internationaux, de la loi, puis des décisions administratives ou des conventions entre personnes de droit privé.

     

     

     

    Dans ce Spectacle de la démocratie falsifiée, nous pouvons toujours intervenir... on le sait ! Et même et surtout, s' ils mettent en titres tous les mots gras qui discréditent les occupant-e-s et leurs intentions de vivre un vrai monde, celui qu' ils et elles inventent chaque jour à l' instant présent, essayant d' être libres de toute contrainte. Ou alors de vivre la contrainte librement acceptée : la définition même de la liberté. Mais, dans cette « guerre de l' information », ce formatage médiatique date du « Vieux Monde » : “zone de non-droit “, “hors-la-loi“, “radicaux“, ultras, “kyste“ etc. … Ce langage de l' illusion n' a pour but que d' assurer l'indispensable “désinformation“ ainsi que la peur, nécessaires à la domination (voir sur acrimed.org, du mardi 2 janvier 2018 : « Désinformation sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes : les médias au garde-à-vous » par Frédéric Lemaire & « L’offensive contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes se prépare… sur les plateaux télé » par Samuel Gontier)

     

     

     

     

    Mais encore une fois, l' État peut invoquer la « raison d' état » pour violer le Droit, et même le droit positif qu' il a défini lui-même. Ce type de comportement qui apparaît antithétique avec la notion d' État de droit et du principe de légalité associé est pourtant souvent utilisé, même dans les

     

    États dits démocratiques, écoutes de particuliers (E. Snowden) ; destruction de propriété : affaire du Raimbow Warrior ; les fermes de la ZAD en 2O12, détruites abusivement par “l' opération César“, etc. ...

     

     

     

    Nous devons répéter qu' une « Zone de non-droit », est une invention langagière récente qui s' applique aux lieux où la population décide de respecter un droit contractuellement définit, par elle-même, comme une Charte, ou une Constitution communale, mais non imposé par l' État. Ce point devrait être bien défini et délimité pour éviter que la seule loi du plus fort règne. C' est donc aux habitant-e-s d' écrire elles et eux-mêmes une Constitution ou une Charte évolutive. En conclusion, le droit positif créé et institué par l' État n' est pas légitime : miroir des intérêts du moment, il ne sert que l' État, non le commun des communs.

     

     

     

    Autres faits, à ne jamais oublier, les hommes du pouvoir dominant ont cru pouvoir établir selon leurs règles, en 2015, un “Référendum“, aussitôt renommé plus justement “Consultation “, des habitants d' un territoire choisi par “les autorités locales“ (informées, comme toujours, par des sondages expresses, donnant le choix qui irait le mieux en leur faveur). Ce choix fut fait sur le territoire de la Loire Atlantique. Résultats : environ 55 % était en faveur du nouvel aéroport à NDDL... Cette même domination avait organisée déjà, un Référendum officiel sur la Constitution Européenne, qui eut pour résultat en 2005, aussi un 55 % , mais pour le NON... Aussitôt, les pouvoirs en place manœuvrèrent en mettant les articles de la “Constitution Européenne“, dans le “Traité de Lisbonne“, qui fut adopté très vite, sans passer par le peuple, uniquement par les “élus“. Et comme on l' a vu ci-dessus, « les engagements internationaux», passent avant la loi. La supercherie était trop visible, alors, « Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c' est manquer de vaillance ; voter, c' est abdiquer, c'est être dupe, c' est évoquer la trahison, dénonçait Élisée RECLUS ».

     

     

     

     

     

    UN AUTRE MONDE POSSIBLE ?

     

     

     

    Paradoxalement, le chemin des “Sardons“ ouvre aussi des horizons... à déchiffrer, à défricher... En s' ouvrant justement à une nouvelle conscience, une libération par l' action dans un « esprit de création ». « Ce qui nous dessèche dans nos rapports, c' est le fait de penser, représenter, calculer, juger, évaluer, nous agiter... et la seule chose qui libère de tout cela, c' est l' amour... ...». Alors, « loin des notables, loin des “jetables“ », loin du PPA, loin de la domination financière, avec notre rictus convulsif sardonique d' oiseaux moqueurs, à tire-d' aile, nous nous élevons à la recherche du véritable sourire. Celui de l' être libre. L' être qui aime... Et Krishnamurti poursuivait : « ... L' amour qui n' est pas un processus de pensées. Vous ne pouvez penser l' amour, il est impossible de penser l' amour. L' amour n' est ni personnel, ni impersonnel, il est l' amour, il n' a pas de frontière, ni de classe, ni de race. Celui qui aime est révolutionnaire, lui seul est révolutionnaire. L' amour n' est pas le produit de la pensée car la pensée est le résultat de la mémoire, c' est-à-dire le résultat du conditionnement et ne peut produire que la mort, la décomposition. »

     

     

     

    Un autre homme. Un homme simple , un Breton, qui fut arrêté par la Gestapo et déporté en camp de concentration, Satprem, se présente, en 1980, comme un Hors-la-loi, au sens le plus profond du terme, un aventurier de l' intérieur, aventurier de la conscience, il a découvert Sri Aurobindo, et fait connaître l' évolution de « Mère », la compagne d' Aurobindo. Elle est à l' origine de la création d' Auroville, près de Pondichéry en Inde... Pourquoi la ZAD ne serait-elle pas, comme Auroville, une Zone d' Amour à Donner ? D' entrée, on y parle le même langage, celui de la recherche d' un autre monde possible.

     

     

     

    La ZAD tend à se libérer le plus possible du droit des dominants à disposer de nous, du peuple, (pour leur seul bon plaisir de dominants). Beaucoup on remis en question leur propre raison d' être à Auroville. Certain-e-s sont partis, d' autres s' y maintiennent malgré les difficultés, cinquante ans après l' inauguration. Ces difficultés semblent les mêmes à la ZAD ou à Auroville, parce qu' elles sont relationnelles, en fonction de nos origines sociales, géographiques et culturelles... Comment nous voyons-nous ? quels regards portons-nous sur l' autre ou les autres ?... 

    Pas se juger les uns les autres... C' est ça la première difficulté, avant de pouvoir aimer vraiment... Le chemin est long encore. Long, c' est relatif...

     

    Ce chemin appartient à “l' éternité de l' instant“ où tout est possible !

     

    Le Nouveau !

     

     

     

    Le Nouveau balaie tout ce qui est ancien.

     

    Créons donc le Nouveau!

     

    Déjà, il nous attend,

     

    silencieux, patient,

     

    depuis longtemps...

     

    Au sortir de notre en-caverne-ment,

     

    il nous étreint au-delà du temps :

     

    « LA LUMIÈRE NE NAÎT PAS DES TÉNÈBRES,

     

    MAIS LES TÉNÈBRES MEURENT DE LA LUMIÈRE,

     

    en réalité, elles n' ont jamais existé. »

     

     

    Sur l' île de Groix, le 17 janvier 2018.

     

    Groupe G.R.O.I.X.

     

    « Série d'arrestations aux abords de la jungle de Calais (Extraits)L'OUVERTURE D'ESPRIT n'est pas une FRACTURE DU CRÂNE - N°1 »

  • Commentaires

    1
    R. et R.
    Vendredi 19 Janvier 2018 à 15:52

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    </style>

     

     

    Malgré la longueur du texte “CRIMINELS !“, il convient de le préciser encore sur quelques points :

     

     

     

    1. Petites fautes à modifier, juste avant la fin du premier chapitre, avant le second, “zone de non-droit “, il faut lire : “...et des interdits sociaux qui nous soumettent aux ténèbres intérieurs de la caverne..

     

     

     

    1. Juste en-dessous “zone de non-droit “, début paragraphe à modifier :

      Zone de non-droit, concerne tout territoire où le droit ne s' applique pas. L' un des pires exemples que s' octroie la domination  mondiale : le camp de Gantanamo, base navale des USA dans le Sud-Est de l' île de Cuba, « dans un statu flou », devenu en 2001 centre de détention et de tortures, gérés par la CIA, avec 700 détenus, en moyenne, qualifiés de « combattant illégal ». Reportage « dans un lieu hors du monde » grince innocemment BFM ; Le Parisien plus timoré, tout en retenue révérencielle : la prison « hors-la-loi » des États-Unis ?...

    2. Troisième paragraphe, faute de compréhension, ajouter, “librement“, dans la phrase : Ou alors de vivre la contrainte librement acceptée : la définition même de la liberté.

    3. Merci de votre compréhension.

     

    2
    petof
    Dimanche 21 Janvier 2018 à 01:20

    Magnifique texte qui finit en apothéose avec la ZAD-  Zone d'Amour  à Donner ! je me sens tout agréablement remué après sa lecture et enthousiasmé par la fin ! Bravo au groupe de Groix !!!

     

    3
    Samedi 3 Février 2018 à 11:08

    Votre insubordination non violente active est exemplaire, puisse le révolutionnaire amour toujours protéger ses hôtes.

     

    http://www.sanurezo.org/spip.php?article317

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